mardi 29 mars 2016
GLORIA INES RAMIREZ RIOS au Festival 2016 !
Femme politique et enseignante colombienne, ancienne parlementaire et présidente de FECODE, membre du Parti Communiste Colombien et du mouvement social et politique Marche Patriotique.
Gloria Ines Ramirez Rios participera au Café pour la Paix le vendredi 1er avril de 19h à 21h.
YALAAH au Festival 2016 !
Yalaah est un groupe formé en 2015 qui a comme but la fusion de styles, parmi lesquels se
trouvent la rumba, la musique brésilienne, le jazz, la musique de l'Afrique du nord et le funk.
Ses musiciens viennent de différents coins du monde: la Colombie, l’Espagne, le Maroc et le Mexique. Grâces à ces origines diverses, Yalaah a su trouver un son frais, gai, solide et authentique.
Venez les découvrir au Festival le dimanche 3 avril à partir de 17 heures !
samedi 26 mars 2016
BENEDICTE BULL au Festival 2016 !
Bénédicte Bull est une chercheuse norvégienne du Norwegian PeaceBuilding Resource Center (NOREF), spécialiste de l’Amérique Latine. Elle s’intéresse tout particulièrement au rôle politique et économique des élites suite à l’accord de paix signé au Guatemala et Salvador.
Bénédicte Bull participera au Café Pour La Paix le vendredi 1er avril de 19h à 21h.
HERNANDO VALENCIA VILLA au Festival 2016 !
Hernando Valencia Villa, Docteur en droit de l’Université de Yale, ex Procureur pour les Droits de l’Homme en Colombie, ex Secrétaire Exécutif Adjoint de la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme.
Il est également expert en Justice Pénale Internationale et Justice Transitionnelle.
Il est actuellement Professeur de Droits de l’Homme et de Politique Internationale au sein de l’Université de Syracuse, il fait également partie du Bureau de l’Association Espagnole du Droit International et des Droits de l’Homme.
Hernando Valencia Villa participera au Café Pour La Paix le vendredi 1er avril de 19h à 21h.
MARTA GOMEZ en concert exceptionnel au Festival 2016 !
Marta Gómez est une artiste colombienne qui écrit, compose et interprète ses propres chansons. Elle vit actuellement à Barcelone.
Marta Gomez et son groupe (Julio Santillan, Franco Pinna, Fernando Huergo, Yulia Musayelyan et Emilio Teubal) interprètent un large répertoire de chansons dont le rythme est souvent un mélange de rythmes latins, du jazz à la musique folklorique latino-américaine, en passant par la cumbia et le bambuco colombiens, la zamba argentine, le son cubain, ou le landopéruvien.
Elle a partagé la scène avec des artistes tels que Bonnie Raitt, John Mayer, Totó la Momposina ou Mercedes Sosa.
Son album "Solo es vivir" a été choisi par le Boston Globe comme l'un des dix meilleurs albums de 2003. Son album "Cantos de Agua Dulce" a été nominé au 2004 Latin Billboard Music Awards dans la catégorie Latin Jazz Album of the Year.
C'est un véritable honneur de recevoir cette très grande dame de la musique colombienne au Festival 2016.
Ne ratez pas son concert le dimanche 3 avril à 19h !
LA DAME BLANCHE au Festival 2016 !
Le rap, le reggae ou encore la nueva cumbia sont les terrains de jeux de prédilection de La Dame Blanche, artiste cubaine dont les musiques puisent leurs racines dans les cultures urbaines...
Venez danser au son de La Dame Blanche au Festival le samedi 2 avril à partir de 19h !
PIZKO au Festival 2016 !
Venez écouter son rap engagé au Festival le samedi 2 avril à partir de 19h !
ORLANDO POLEO Y EL TALLER LATINO au Festival 2016 !
Venez danser avec eux au Festival le vendredi 1er avril à partir de 21h !
MONSALVE Y LOS FORAJIDOS au Festival 2016 !
Forajidos, littéralement «hors la loi», reflète le style musical de ce groupe né à Caracas, sous l’impulsion de Raul Monsalve et rassemblant musiciens vénézuéliens, colombiens et français. Leur répertoire est influencé par les rythmes traditionnels de la musique caribéenne et afro-vénézuélienne, mais aussi par des sonorités plus funky, alliant l'afro-beat au jazz.
Venez les applaudir au Festival le dimanche 3 avril à 21h30 !
jeudi 24 mars 2016
VANNY JORDAN au Festival 2016 !
Vanny Jordan est un chanteur auteur- compositeur franco-colombien. Cet artiste sait transmettre une ambiance chaleureuse, faire danser les amateurs de musique de tous bords, en offrant un univers festif propre à l’esprit latino.
Vanny Jordan nous fera danser au Festival le samedi 2 avril à partir de 21h !
ROHAN HOUSSEIN au Festival 2016 !
Venez écouter le rap engagé de Rohan Houssein au Festival le samedi 2 avril le 19h à 21h !
CUMBIA & CARDON au Festival 2016 !
Rythme né sur la côte caribéenne colombienne d'une fusion des cultures amérindienne, africaine et espagnole, la cumbia est l'expression d'un patrimoine culturel ancestral. Incarnant le métissage, ce rythme musical est devenu au fil des époques et des mélanges un langage universel sur le territoire latino-américain.
Créé en 2015 par le percussionniste Fabian Suarez, Cumbia & Cardon se démarque par son attachement à conserver un répertoire authentique et populaire qui fait vivre les rythmes traditionnels de la côte caraïbe colombienne : cumbia, porro, chalupa, mapale, bullerengue, fandango...
Un mélange explosif de tambours afro-colombiens et de fanfare de rue caribéenne qui invite à la danse, à la transe. Jeunes et originaires de Colombie pour la plupart, les membres de Cumbia & Cardon incarnent la nouvelle génération des 'cumbieros' parisiens.
Pour se déhancher au son de Cumbia & Cardon, c'est au Festival le samedi 2 avril à partir de 21 heures !
JIM LOPEZ & LA NUEVA EDICION au Festival 2016 !
Groupe de salsa et de folklore colombien créé par Jim Lopez, La Nueva Edicion est basée à Paris, et formée de musiciens venus des quatre coins de la Colombie.
Sur scène, ils insufflent une énergie festive communicative, unanimement saluée par leur public. Spécificité sur la scène salsa française, leur répertoire est composé en majorité de compositions originales, et non de reprises.
Présents régulièrement sur les scènes salsa parisiennes (La Peña Festayre, Le Pan Piper, La Casa Cubana, O’Sullivan…), le groupe est aussi un habitué des festivals “latinos” du sud de la France. Ils ont notamment fait danser le public de Pamiers, dans l’Ariège (Fiesta à Pamiers, juillet 2012), et de Vic-Fezensac, dans le Gers (Tempo Latino en 2012 et 2013), où leur prestation a été récompensée par le prix de la Conga au meilleur orchestre révélation.
Son nouvel album, “Canto a mi tierra”, est disponible depuis décembre 2013.
Jim Lopez
Percussionniste de Yuri Buenaventura durant de nombreuses années et accompagnateur de pointures de la salsa mondiale lors de leurs tournées européennes (Grupo Niche, Tito Nieves, Cano Estremera, etc.), Jim Lopez est à la tête de sa propre aventure musicale depuis maintenant sept ans.
Né à Buenaventura, grand port de la côte Pacifique de la Colombie et berceau historique de la salsa dans le pays, il met ses talents de compositeur et d'arrangeur au service d'histoires qui lui tiennent à cœur.
A travers la salsa, les rythmes traditionnels de sa région (currulao) et les musiques actuelles (rap, reggaeton), il raconte la chaleur humaine et le goût de la fête de sa terre (« Almas libres »), le périple des jeunes en quête d'un avenir meilleur (« La Caleta »), les lumières de sa ville d'adoption (« Paris, ciudad luz ») ou encore les ponts musicaux entre l'Afrique et l'Amérique latine (« Su majestad el tambor »).
Jim Lopez & La Nueva Edicion feront danser le Festival samedi 2 avril à partir de 21 heures !
MARIMBA Y CHIRIMIA au Festival 2016 !
MARIMBA Y CHIRIMIA sʼest constitué dans le but de diffuser et faire connaître cette musique, la chirimia, si peu connue en Europe. Lʼorigine africaine se retrouve autant dans les rythmes, le tumbao, le chant, ainsi que dans le recours à des instruments traditionnels, comme les tambours ou la Marimba de Chonta, le «guasa» auxquels vont venir sʼajouter des instruments plus modernes comme la batterie, la basse électrique ou le saxophone. Marimba y Chirimia, animé par une envie dʼaller vers le public et de faire partager les sonorités du pacifique colombien, est une invitation à la mélodie, au rythme et surtout à la danse.
Venez donc danser avec Marimba y Chirimia au Festival le dimanche 3 avril 2016 à partir de 21h30 !
MATRAKA au Festival 2016 !
Matraka Live est un groupe de musique latine qui célèbre la rencontre de deux genres
musicaux originaires de Cuba et de Colombie: la timba cubaine et la musique traditionnelle
de la cote Pacifique colombienne. En se basant sur les rythmes de la musique cubaine,
“timba”, Matraka Live réinterprète les chansons les plus reconnues du Pacifique colombien
dans le but de créer de nouvelles sonorités et faire connaître au plus grand nombre la
marimba de chonta (piano artisanal originaire de la région du Pacifique et qui appartient à la famille du balafon africain).
Composé de 9 musiciens originaires d´Amérique Latine et d´Europe, ce groupe basé à Paris, nait en 2015 de par l´association de deux musiciens, La Wey Segura, colombien, et Juan Manuel Nieto, équatorien.
MATRAKA sera au Festival le dimanche 3 avril à partir de 21h30 !
Bacatá sera au Festival 2016 !
En 1986, un groupe de jeunes musiciens colombiens créa à Paris l'ensemble Bacatá pour partager entre eux, mais aussi avec le reste du monde leur fort attachement à la musique de leur pays...
Venez les applaudir au Festival le dimanche 3 avril !
Calentura Negra au Festival 2016 !
A travers son groupe de danses folkloriques "Calentura Negra" l'Association de la Colonie Colombienne fait connaître à un large public les danses et musiques de la Colombie et de ses régions, telles que "Cumbia" danse de la région nord du pays, le "Bambuco" de la région andine, et le "Currulao" de la côte pacifique du pays, entre autres.
Découvrez donc les danses folkloriques colombiennes au Festival avec Calentura Negra
le samedi 2 avril de 15h à 16h !
mardi 15 mars 2016
Contre les assassinats de dirigeant(e)s des mouvements sociaux au Honduras et en Colombie
L'association France Amérique Latine, le Festival pour la Paix en Colombie - Mémoires et Justice Sociale
et le Collectif Alerte Honduras se joignent pour condamner les
assassinats qui ont secoué ces pays depuis le début du mois de mars.
RASSEMBLEMENT
Samedi 19 mars à 15h00, Place de la République
HONDURAS
Berta Cáceres, cofondatrice du Conseil Civique des Organisations
Populaires et Indigènes du Honduras (COPINH), a été assassinée le 2 mars
2016 à son domicile de La Esperanza. Ce meurtre s’ajoute à la longue
liste de crimes commis contre le peuple hondurien, en particulier depuis
le Coup d’État du 28 juin 2009, qui a marqué une recrudescence
d'attaques ciblées contre ceux qui luttent pour la préservation de
l’environnement, contre les organisations paysannes et les organisations autochtones.
Lire la suite: http://
COLOMBIE
Les assassinats du jeune Klaus Zapata, leader communautaire, étudiant et militant de la Jeunesse Communiste Colombienne (JUCO) et de l’Union Patriotique, ainsi que de William Castillo, leader paysan du Bagre (Antioquia), de Marcela Tombe, leader paysanne du Tambo (Cauca) et d’Alexandre Oime, gouverneur indigène du Cauca, sont un message effrayant pour le futur de l’accord. Il ne peut y avoir de processus de réconciliation tant que les forces sociales et démocratiques continuent à être noyées dans le silence et l’impunité.
Lire la suite: http://
lundi 14 mars 2016
Diaporama Soirée du 5 Mars. Merci à toutes et tous
L'ensemble de l'équipe du Festival pour la Paix en Colombie - Mémoires et Justice Sociale, souhaite remercier toutes les personnes qui ont participé à notre soirée dansante du 5 mars. Nous sommes ravi-e-s d'avoir compté avec votre présence et votre joie, qui ont fait de cet événement un succès pour notre Festival !
samedi 12 mars 2016
Sur l’assassinat des leaders sociaux Klaus Zapata, William Castillo, Alexander Oime et Maricela Tombe
Déclaration du Festival pour la Paix en Colombie
– Mémoires et Justice sociale
Les dés en sont jetés. Tout semble affirmer que l’Accord est incontournable : Le récit plein d’espoir et de possibilités de réconciliation que nous offrent les accords de la Havane, dessine une perspective radicalement différente, autre que celle des batailles et des morts. Mais il nous interpelle car il exige de chacun de nous un grand engagement éthique et politique face aux exigences du présent et du futur. La paix est un espoir commun mais aussi un travail collectif.
Toutefois la chance ne vient pas seule : elle se cherche, se travaille, se prépare. Les accords de la Havane ne surgissent pas de nulle part, ils viennent chargés d’histoire… Une histoire, dont l’écho de l’échec des dernières tentatives de dialogue, résonne toujours. Il y a trente ans, avec brutalité, l’espoir s’est réduit à l’extermination de toute une force politique, l’Union Patriotique, force qui appelait justement à absorber et à transformer la lutte insurgée en une lutte pacifique. Et comme dans les bouges, il sera toujours plus facile de déclencher une bagarre pour ne pas payer l'addition, on en vient à abandonner notre présent à un futur sanglant, en sacrifiant la construction d’un Processus qui ne peut plus attendre.
Les assassinats du jeune Klaus Zapata, leader communautaire, étudiant et militant de la Jeunesse Communiste Colombienne (JUCO) et de l’Union Patriotique, ainsi que de William Castillo, leader paysan du Bagre (Antioquia), de Marcela Tombe, leader paysanne du Tambo (Cauca) et d’Alexandre Oime, gouverneur indigène du Cauca, sont un message effrayant pour le futur de l’accord. Il ne peut y avoir de processus de réconciliation tant que les forces sociales et démocratiques continuent à être noyées dans le silence et l’impunité. Et puisque la paix est un espoir et un travail de toutes et tous, l’Etat doit répondre à ses obligations : NOUS EXIGEONS que clarté totale et justice soient faites sur l’assassinat du jeune Klaus Zapata, sur celui des trois leaders sociaux tombés cette semaine et ceux de la longue liste des leaders sociaux assassinés ces dernières années.
Le Festival pour la Paix en Colombie – Mémoires et Justice Sociale, considère qu’il s’agit ici d’une étape cruciale pour une véritable réconciliation : le sang de militants désarmés pourrait, comme il y a trente ans, faire dérailler ce processus de paix. Il n’y a pas là de grands mystères : NOUS EXIGEONS que les terribles alliances de corruption entre pouvoirs nationaux et locaux, mafias et Forces armées soient détruites à la racine.
Nous appelons la communauté internationale ainsi que la société colombienne à condamner fermement ces assassinats répréhensibles et à exiger, à l’unisson, que l’Etat colombien réponde des faits qui endeuillent aujourd’hui le pays entier.
L’impunité ne doit pas continuer à être le point final de l’histoire de nos compatriotes assassinés parce qu’ils rêvaient d’une Colombie en paix, inclusive et avec justice sociale.
vendredi 11 mars 2016
COLOMBIE. Pour une vie digne : Soutien à la grève nationale
Le 17 mars à Paris :
On se rassemble au TROCADERO
(Place des Droits de l'Homme) de 17h00 à 20h00
pour manifester notre soutien à la grève en Colombie
Le pays et le monde entier ont entendu parler des récentes décisions économiques et politiques du gouvernement colombien : Leurs conséquences vont mettre en danger les conditions de VIE DIGNE des colombiennes et des colombiens. Face à cette situation, nous ne pouvons rester en silence et nous rejetons avec une indignation profonde ce qui conduit à l’approfondissement des relations d’oppression, d’exclusion et d’exploitation qu’affronte la société colombienne.
Le gouvernement colombien a décrété une augmentation salariale de 7%
(1503 pesos par jour, soit 0.43€). Cette décision est reçue comme une
insulte par les travailleuses et les travailleurs colombiens.
Parallèlement, il a impulsé de fortes politiques d’austérité comme le
projet de réforme fiscale qui cherche à augmenter les impôts, notamment
la TVA, et qui s’attaque ainsi aux possibilités de vie digne des
familles colombiennes. S’ajoutent à cela les scandales de corruption et
de privatisation de biens publics d’intérêt général comme ISAGEN (Entreprise du secteur de l'énergie) ou le
scandale de REFICAR (raffinerie de Carthagène) ; la continuité et l’approfondissement de la crise du
secteur de la santé, qui porte directement atteinte à la vie des
colombiennes et des colombiens; la mise en sous-traitance de l’emploi;
la hausse des coûts d’accès à l’éducation; l’absence d’une politique de
sécurité et de souveraineté alimentaire, revendiquée depuis longtemps
par différents secteurs paysans colombiens; le fait que le gouvernement
ne respecte pas les différents accords avec les syndicats et les
secteurs sociaux, et la répression continuelle contre l’agitation
sociale.
Cette situation précaire de la Colombie est le substrat d’une grande
mobilisation sociale, ethnique et populaire avec laquelle les secteurs
politiques et sociaux, les syndicats et le peuple colombien en général
vont remplir les rues de dignité lors d'une grève nationale à
partir du 17 mars prochain, afin d’exiger que le gouvernement
change ses politiques néolibérales et cesse de livrer les ressources
naturelles du pays aux grands capitaux, sachant que la construction de
la paix avec justice sociale ne peut pas se conjuguer avec ce type de
mesures qui portent directement atteinte aux moins favorisé-e-s.
Depuis la France, nous voulons soutenir avec force nos frères et soeurs colombiens. Nous nous unissons à la mobilisation nationale du 17 mars,
en faisant nôtres et en partageant toutes les revendications que va
lancer le peuple colombien à travers une grève nationale complètement
justifiée.
Nous, signataires de cette déclaration, colombiens et colombiennes
résidents à l’extérieur du pays, européens et européennes, organisations
sociales, citoyens et citoyennes du monde, victimes de la précarité de
la politique et de l’économie actuelle, nous appelons à la plus grande
unité des forces politiques, sociales, sectorielles et populaires
permettant une mobilisation suffisamment forte, capable de construire les
espaces d'indignation populaire permettant d'avancer vers la
transformation radicale du pays, unique garantie pour atteindre la paix
stable et durable.
Le 17 mars en Colombie :
On arrête de travailler
pour faire avancer les revendications...
Vive la grève nationale !
Le 17 mars à Paris :
On se rassemble au TROCADERO
(Place des Droits de l'Homme) de 17h00 à 20h00
pour manifester notre soutien à la grève en Colombie
Inscription à :
Articles (Atom)